"Tu te souviens, on confondait les lilas et les buddléias, parce qu'à l'odeur ils évoquaient cette chose ineffable, insouciante, les beaux jours, quelque chose de doux, de sucré, de suave, immuable, l'évasion comme si ailleurs serait forcément mieux qu'ici et qu'on ne grandirait pas, non, que toujours nous connaîtrions ces journées chaudes et ventées pas encore teintées de nostalgie à se crever le cœur, que jamais nous ne les regretterions car elles seraient toujours là, un bonheur sans taches qui n'existe que dans la théorie du regard introspectif mais on ne le savait pas, ça ; l'excitation de se coucher tard le soir, de regarder les étoiles en rêvant qu'un jour on s'envolerait, nos ailes retrouvées, que le temps serait figé, partout ailleurs qu'ici et qu'il fallait s'enfuir pour ne pas tout perdre..." — N.C.
Salutations, moi c'est Nathael, 25 printemps et artiste à mes heures perdues – face à l'absurdité cherchant des mots, des formes, un autre langage qui en appelle à la sensibilité pour que ce qui semble indicible puisse trouver un chemin, même lacunaire, jusqu'à autrui.

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C'est une tâche à renouveler sans cesse mais je ne me vois pas vivre autrement !

Je suis un grand passionné d'art dans ses innombrables media : littérature, dessin, musique, photographie, cinéma (GHIBLI !), vidéo, performance... mais également de philosophie, d'écriture, de jeux vidéos (Dragon Age for life), de danse, de toutes ces choses qui nous ouvrent un monde plus vaste tout en nous ramenant vers nous-mêmes. Sans elles je ne suis que poussières au vent.

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Du mélange de tous ces précieux ingrédients naissent mille choses singulières qui se rencontrent dans les mots et les sensations et qui peuvent prétendre à une certaine universalité pour peu que chacun puisse à sa façon s'y reconnaître et éprouver quelque chose. Je trouve cela magnifique, c'est ce qui rend le quotidien un peu plus lumineux et supportable lorsque le brouillard tombe et qu'on ne distingue plus la Lune. On imagine des petits fils qui nous relient à quelque chose de grand et d'imparfait tout en préservant notre singularité, nos perceptions, une seconde on peut penser qu'on n'est pas fondamentalement tout seul...

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Je rends toutes les félicitations que je vois !

N'hésitez pas à m'envoyer des MP si vous voulez discuter de ces sujets ou d'autres, faire connaissance, partager, si vous débutez ou avez besoin d'une aide quelconque, que sais-je ; je ne mords pas, loin de là ! Je suis certes un loup assez solitaire, mais je ne suis pas du tout contre de belles rencontres, comme j'ai pu constater qu'il était possible de faire ici...
Je demande juste qu'on ne m'assaille pas de pubs intempestives, et qu'on respecte le minimum de la politesse, en personnes civilisées que nous sommes. Par ailleurs, vous pouvez me tutoyer, c'est plus convivial !

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J'accepte les demandes d'amitié uniquement lorsque nous avons un – bon – contact préalable, je suis ravi de faire de nouvelles rencontres, mais il est inutile de me demander à la sauvage, si on ne se connait ni d’Ève ni d'Adam et qu'on ne se parlera jamais – et à en juger par l'état de ma page "Amis", ceci mérite la précision...

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[Recherche activement des RHD sur Gaia, n'hesitez pas a me contacter si vous en avez a vendre ! :)]
Copyright : Thème et images par MystiGrigri
[Il faut bien parler du jeu quelque part...]
Je joue quasi exclusivement sur Gaïa, je ne suis ici que pour mes quelques chevaux et les concours, peut-être que je reprendrai un peu ce monde en main mais simplement comme complément, tranquillement, et lentement.
MP pour échanges d'objets...


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• Centre équestre (GAIA)•

Coming soon : des fiches en libre service et peut-être d'autres petites choses – si j'ai la patience je transférerai tout ça ici aussi, mais pour le moment le temps manque !

Meilleur classement popularité : 2ème avec 294 visites, le 19 mai 2020

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Puisque je jongle entre les obsessions et qu'il fallait bien sortir un peu d'Arcane, here is Sebille (I give her my life), du jeu Divinity Original Sin II, qui a noyé de nombre de mes heures dernièrement — et quel dommage que le fandom soit si peu étendu, j'ai l'impression d'avoir déjà fait le tour de tous les fanarts/fanfictions... ce jeu est pourtant monumental et superbe. Je suis à l'aube du dernier acte, comme toujours repoussant la perspective de la fin.



But still, VI, mais plus largement, juste : ARCANE a toujours mon coeur. Si vous n’avez pas regardé cette série, je ne peux que vous la conseiller, et si vous l’avez vue, n’hésitez surtout pas à me MP pour que nous en discutions ! Ce sera avec un vrai plaisir.



Je crois que tout me plaît dans cette série, l'animation, la direction artistique, les personnages, leur profondeur, la rapidité à laquelle je me suis attaché à chacun d'entre eux comme à une bouée de sauvetage qu'il a été si difficile de voir couler.



Comme toujours quand arrive la fin on se sent orphelin, et l'angst me guette à chaque coin de ruelle pour emplir et vider mon coeur de toutes ses forces. Mais c'est si beau, et bon, de ressentir cette nostalgie de choses qui tout en n'ayant pas été et n'existant que dans la fiction nous ramènent à ce que nous sommes ou aurions pu être, cette douce douleur...!


Also, Donwton Abbey is life, I don't make the rules.

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Lorsque je tombe dans une série, un fandom, un jeu vidéo ou autre, cela peut très vitre tourner à l'obsession, je me nourris de fanfictions, de gifs, de fanarts, de memes et j'en passe ; c'est qu'il y a beaucoup de béances et tout ça, c'est un peu comme de la pommade, du fil doré.
C'est drôle, on se sent vivant et comblé pendant un temps, puis il faut trouver autre chose, et pourtant, c'est toujours là, l
ingering, incrusté sous la peau, on y revient par phases, une danse du chaos entre toutes ces choses qui nous maintiennent, nous font vibrer, nous donnent à ressentir et à aimer, rire, pleurer, souffrir, parce que l'ANGST, et la nostalgie lorsque c'est la fin, lurking, et tout cela reste beau pourtant, infiniment.

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 "On les entend à peine, ils chuchotent..." 

J'ai une intarissable passion pour les films des studios Ghibli, je les aime tous, et même s'il est difficile voire impossible de choisir un favori parmi eux, celui qui ressort est indéniablement pour moi Le château dans le ciel. Mais c'est intime au possible et assez indépendant du film en lui-même, c'est simplement parce qu'il est le seul à être si finement entrelacé à mon enfance, et donc tissé de mille souvenirs que les autres ne m'évoquent pas... Beaucoup de choses se cristallisent dans l'enfance et donnent lieu à une montagne de nostalgie, je crois que tout cela joue fortement dans mon appréciation !
Random stuff
Ma partie [PP GAÏA !]
Un peu sur moi...
"There are a lot of human experiences that challenge the limits of our language." — A. Dellaira
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    Gif by Laizo (steam). MORRIGAN IS MY LIFE. (LASO: SEBILLE FORM DOS2 IS. THERE IS A TYPE HERE)

Jeux vidéos : Divinity Original Sin II, Dragon Age (Origins, II, Inquisition), Greedfall, Kena Bridge of Spirits, Skyrim, Assassin's Creed, The Witcher, Life is Strange, The Wayhaven Chronicles... c'est un monde que j'ai découvert à regrets assez tard, avec Dragon Age, mille émotions d'une intensité non soupçonnée, sans doute est-ce là ce qu'ils ont de si addictif...

Il y a quelque chose avec la fiction qui me fait l'apprécier autant, j'oserais dire la vénérer, c'est qu'elle agit comme une sorte d'exhausteur de vie, d'émotions, on les ressent puissance mille, tel qu'on ne le fera probablement jamais dans la vie, l'empathie est décuplée et par conséquent la douleur, on a ce détachement et cette proximité parallèles qui font qu'on peut s'identifier aux personnages, s'y perdre, c'est faire un plein de sensations surpuissantes qui dépassent les mots

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C'est magnifique et c'est ce qui me fait craindre la fin au-delà de l'exprimable parce que, qu'il s'agisse d'un livre, d'une série, d'un film, d'un jeu (mais dans la réalité, c'est le même problème) elle ouvre sur la question : "Et après ?" qui a quelque chose d'insoutenable, qui contient en elle un déchirement analogue à celui des au-revoir, des séparations, comme des fragments de nous qu'on éparpille un peu partout faute de pouvoir les contenir tous et qui nous contraignent à avancer avec le néant qui se propage, des béances, celles justement qu'il faut combler. 
Et chaque fois il s'agit de savoir s'il faut se jeter immédiatement dans autre chose pour ne pas rester vide trop longtemps ou s'il faut au contraire attendre, se noyer un peu comme pour purifier les poumons et laisser l'apaisement s'opérer, respirer les dernières odeurs qui s'effacent tout en sachant qu'on ne ressentira jamais plus exactement ces choses-là, la beauté et la douleur de la première fois qu'on ne peut que partiellement revisiter quand la nostalgie nous tient mais jamais dans le présent ni à l'identique.

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En attendant de compléter tout ça, je pose ça là : Taro — Alt-J

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Merci à toi d'être arrivé jusque là, promis la suite arrive, someday, ça prend un peu (beaucoup) plus de temps que prévu, je postpone sans cesse, mais j'espère que tu as apprécié ! Et bon jeu !


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They, whom you gave your survival to, will they fade? You see dark diamonds when you look so deep into their eyes for the briefest of seconds for you can't stare at people, and you know they read into you just by gazing around you like they can perceive, so sensitive, your aura; you melt under those eyes, those compationate features, and your hole body shakes, for they speak too loud, they stare so hard and cold when you know they are only warm and soft. They find the words that make it seem to be possible to live again, always, the words that fit best, that could make you believe you are allowed to live until you and them part. But what if he never returns, what if this encounter was the last? What of you then, what of them? Will you be able to carry on this neverending wandering, walking this path you can only fall over and over on? They won't leave, they promise, they'll be there, they repeat, for you to register it, and you believe it in their presence, their smile, their gaze. But then they are gone, again, see you soon but "soon" means nothing and perhaps "never-again" or "we-don't-know-when" and it is such a unbearable pain in your chest, you are alone like the two how you didn't meet that evening, and you'll forget the confidence you felt from them being by your side, always so, by the moment you get home after a crazy drive in the woods in the night.



"She'll destroy you with her sweet kiss, her sweet kiss..."


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