les chevaux c'est toute ma vie!ced83a1ec20d9f7b45a8c537f1ccdf3c.png?hhhhhhiiiii

 

j'ai malheureusement perdu il y a quelques moi ma moitié équine qui a rejoint le "havre de paix" après de long mois de maladie...25376ca9c38f23811c401c64339ffa93.png?hhhhhhiiiii

Fraulein, tu me manques, je t'aimais plus que tout...

Les chevaux sont restés ma passion, ma raison d'être même, et le cap qui me fait tenir quand la vie est trop dure!2a1af738d56da555be74920210e2babc.png?hhhhhhiiiii

Alors à toute la race équine, merci!e7e0b504610fac2eb3eaba34d6edee5b.png?hhhhhhiiiii

 

voici un poeme que j'ai écris pour leur rendre hommage:

Cheval

La légende te veut fils du Vent,

Caractériel, intrépide et fougueux,

Fort, rapide et tempétueux,

Et pourtant, tu te plis à nos ordres sagement.


Tout en toi n'est que perfection,

Et seul nous, humains, avons ternis ton blason,

Surement par jalousie,

Devant ta beautée inouïe.


J'aime à te contempler,

Toi, ta longue crinière emmélée,

Les frissons qui courent sur ta peau,

Et l 'harmonieuse courbe de ton dos.


Ton humeur est plus changeante que le ciel au dessus de nous,

Parfois timide, parfois orgueilleux,

Parfois doux, parfois peureux,

Cheval aux mille aspects, ton charme est fou.


C 'est lorsque tu es au pré que j'aime le plus t 'observer,

Je te vois paître calmement,

Quand tout à coup, comme pour fuir un danger, un tourment,

Tu t 'élances dans une course effreinée... juste pour t 'amuser !


Tu t 'inventes des courses immaginaires,

Contre le vent, contre un adversaire,

Contre la pluie, contre tes congénaires,

Et tu paraîs voler, ne plus toucher terre...


Je te sais courageux comme un lion,

Et pourtant, si d'un buisson s'envolent des perdrix,

Nous pourrions croire que tu perds l 'esprit,

Mais ce n'est qu'un de tes nombreux tours de fripon...


Mais ce que j'aime par dessus tout, c'est plonger mon regard dans le tien

Car enfin, j'y oublie problèmes et chagrins,

Les battements de mon coeurs s'unissent aux tiens,

Et ainsi calme et heureuse, je ne me soucis plus de rien.


Alors Cheval, ô bête merveilleuse,

dont la simple évocation me rend songeuse,

Pour tout ce que tu es, je te le dis,

Au nom de nous tous, Merci.